Vendredi 12 Avril 1991 Dernier Jour De Formation
Arrivé à lhôtel, en minstallant pour le petit déjeuner, je tombais sur les collègues avec les questions habituelles, Ou es-tu passé ?,
On ne tas pas vue hier soir,
Jexpliquais quayant sévit plusieurs années dans la région, javais encore des relations et que hier soir javais été invité et étais rentré assez tard, enfin bref,
le temps de se remettre au boulot arrivait, chacun repartit à ses tâches.
Vers 11,00 h la réception minforma que javais un appel et que je pouvais le prendre en cabine à coté de la réception. Ce que je fis, cétait Monique. Honnêtement, avec le travail, je lavais un peu oublié.
Monique : « Je suis enfin seule au bureau, je voulais te dire que je suis désolée pour hier soir. A midi, tu peux te libérer,
et on se retrouve au parking habituel
»
Moi : « Je peux essayer,
ça va être un peu difficile, mais
»
Monique : « Tu peux, si tu veux,
je veux me faire pardonner,
pour te donner des idées, jai un joli corsage avec un décolleté qui peut être très profond,
tu vois, ce que je veux dire,
»
Moi : « Tu sais ce que tu es,
»
Monique : « Oui,
une salope,
mais tu as toujours apprécié,
et je porte la jupe, tu sais, celle avec les gros boutons,
»
Moi : « Tu es une horrible tentatrice,
et,
»
Monique me coupant « Oui,
mais tu aimes,
et jaime faire ce que tu aimes,
et je nai rien en-dessous,
nue, comme tu aimes,
ça te donnes des idées,
dis moi,
»
Moi : « Tu le sais très bien,
tu sais ce que tu vas faire,
»
Monique : « Non dis moi,
»
Moi : « Tu déboutonnes le deuxième bouton de ta jupe,
»
Monique : « Non, tu es fou,
»
Moi : « Arrêtes je sais que tu en as envie,
rappelles toi,
ça y est cest déboutonné,
»
Monique : « Oui,
une fois de plus je cèdes,
tu me tourneboules,
et jobéis,
pourquoi je perds toute volonté avec toi,
et jaime tobéir,
je dois faire partie des soumises,
»
Moi : « Arrêtes de philosopher,
tu vas glisser ta main dans louverture de ta jupe,
tu écartes légèrement les cuisses,
tu poses ta main sur ton minou,
»
Monique le souffle un peu court : « Oui,
»
Moi : « Dis moi que tu aimes,
»
Monique le souffle un peu plus court : « Oui,
»
Moi : « Caresses doucement ton minou,
je sens que tu vas mouiller,
et ta touffe va prendre ton odeur,
ta douce odeur de femelle chaude,
»
Monique le souffle très court : « Oui,
tu es un monstre,
je fais ce que tu veux,
arrêtes, jai envie de toi,
si je continues je vais jouir,
»
Moi : « Cest bien,
ta touffe va être bien mouillée,
je vais pouvoir te sentir,
»
Monique : « Oui,
Oh,
Oh,
un type arrive,
» et elle raccrocha brutalement.
A midi, légèrement passé, jarrivais au parking où Monique était déjà garée. Elle attendit que je sois au niveau de la porte de sa voiture pour sortir. Sortie vedette, elle montrait un décolleté affolant, son corsage était tellement ouvert quil ne cachait que la pointe de ses seins, quand à sa jupe, elle nétait fermée que par le bouton de la ceinture. Tant et si bien quen sortant de voiture, celle-ci souvrit entièrement jusquà sa fourrure. Sans hésiter, elle se précipita dans mes bras, se collant à moi, elle dit « Je suis si contente de te voir,
mais tu es un horrible monstre,
»
Moi : « Moi,
pourquoi,
»
Monique : « Avec ce que tu mas fait faire,
»
Moi : « Et alors,
tu nas pas aimé,
»
Monique : « Oh si,
cest ça le problème,
quand le type est arrivé,
jai jouit,
et tu sais ce qui se passe dans ce moment,
horrible,
je ne savais plus quoi faire,
heureusement le type ne sest rendu compte de rien et ma demandé si jallais bien,.. »
Moi : « Alors tu tes fait plaisir,
et je vois que tu est en pleine forme,
ta tenue est une véritable provocation,
»
Monique : « Oses dire que tu naimes pas,
je veux que tu aies envie de moi,
je veux rattr la nuit que jai perdue,
avec ce que jai fait au téléphone,
je suis excitée au possible,
jai envie de toi,
donnes moi du plaisir,
»
Layant gentiment poussé contre la capot de sa voiture, elle sy installa et sans hésiter écarta les jambes, ce qui dégagea sa chatte, elle soffrait ainsi : « Viens,
je suis toute chaude,
»
Je me glissais entre ses cuisses et humais son odeur, lodeur de sa fourrure et de sa chatte, dont les grosses lèvres étaient bien gonflées. Enfin je parcourais doucement sa chatte de ma langue, sa réaction fut rapide : « Oui,
lèches moi,
je veux sentir ta langue,
» Enfin posant ma bouche sur son minou, je gouttais à son jus damour, qui suintait à plaisir et de deux doigts, en douceur, je la pénétrais, cela fut immédiatement apprécié : « Oh,
oui,
prends moi,
tu mas excité,
fais moi jouir,
» et je me mettais à la masturber avec application : « Oui,
rentres bien,
jaime te sentir,
continues,
ne tarrêtes,
OOOOHHH,
continues,
OUIIIIIIIII,
» un jet de cyprine minonda les lèvres, pendant que ses cuisses se refermaient brutalement sur ma tête.
Moi : « Comme ça tu me donnes des idées,
et tas toujours un très joli cul,
»
Monique : « Il te plait prends le,
tu mas donné du plaisir à moi,
on est seuls ici,
prends moi,
» et prenant appui sur le capot : « Prends moi,
comme ça,
par derrière,
comme jaime,
Oh,
viens, regardes,
cest à toi,
je suis ta femelle,
je veux que tu me montes,
jaime quand tu me baises comme ça,
encules moi,
jen ai envie,
»
Je me positionnais sur sa rosette et en appréciais la souplesse,
« Oui,
je me suis préparé pour toi,
forces un peu,
jaimes que tu me forces,
je veux te sentir me monter dessus,
tu sais que je suis à toi,
viens,
tu me rends folle,
» Les mains sur ses fesses elle offrait sa rosette à prendre : « Oui,
rentres,
rentres doucement,
»
Ma bite en bonne place, je tâtais de la souplesse de sa rosette et par petit coups je réussissais à investir le petit trou de ma partenaire, qui apprécia lintrusion par : « Oh
oui,
je te sens,
continues doucement,
jaime,
» En menfonçant un peu plus et en accélérant légèrement la cadence, je finis par linvestir complétement. Et là, cramponné à ses hanches, je savais quétant bien décontractée, il faudrait que jassure et quelle apprécie la chose. Cest ce que je fis en lui ramonant le petit trou avec application et parfois en sortant complètement de son emprise ce qui se traduisait aussitôt : « Non,
quest-ce que tu fais,
restes,
» et aussitôt je la reprenais : « Cest pas vrai,
tu le faits exprès,
oui, continues,
encules moi,
ne tarrêtes pas,
prends moi profond,
je sens que ça vient,
ne tarêtes pas,
OUIIIIIII,
OUIIIIIIIII,
.
Moi : « Tu nas pas aimé,
»
Monique : « Si, cest ça le drame,
tu me prends,
tu ten vas,
tu reviens,
jaccepte tout,
et ce soir à la débauche,
je serais là,
à attendre mon amant,
je devrais dire mon maître,
et je suis contente,
»
Moi : « Arrêtes,
viens que je te serre dans mes bras,
tu es très belle quand tu te mets en colère,
mais il faut que jy aille,
»
Monique : « Moi aussi,
mais tu ne perds rien pour attendre,
»
Jarrivais à lhôtel, alors que les derniers intervenants restants étaient en passe de se mettre à table. Nous nétions plus que 5, le représentant du gros matériel de terrassement, celui de la mise en uvre des enrobés, celui de lentretien du matériel et celle de la gestion des finances en entreprise, jolie blonde cheveux mi long, dune petite trentaine, mariée. Nous nous connaissions tous pour être intervenus, les uns ou les autres, sur dautres formations. On sinstalla sans protocole et je me trouvais à la gauche de notre collègue, Madeleine. Le repas fut agréable et même joyeux. A trois reprises le genou de Madeleine heurta (doucement) mon genoux, ma jambe. La première fois je lâchais un discret « Excusez moi », les suivants, un peu étonné, je ne dis rien. Le repas terminé, alors que chacun partait vaquer à ses affaires, Madeleine vint à moi, et fouillant dans son sac me dit « Je vais te donner mes coordonnées,
puis zut, mes buisness cartes sont restées dans ma chambre,
je vais les chercher et je prendrais ma valise,
tu peux mattendre,
»
Moi : « Sans problème, je vais en profiter pour prendre un café »
Premier point dinterrogation, on se connait tous, certes, mais on à lhabitude de se vouvoyer, deuxième interrogation, ses cordonnées, je les ai, elles sont dans le fascicule remis aux présents de la formation.
Moi : « Je vais taccompagner,
ça me fera prendre lair,
» et nous voilà parti.
Arrivé à la voiture, elle ouvrit son coffre et mis sa valise à lintérieur, (réflexion personnelle, elle a un joli cul, qui remplit bien sa jupe,
)
Madeleine : « Attends,
jen ai dans la voiture et ouvrant la portière arrière, elle se pencha pour prendre un porte document, rebelote, présentation de son arrière train. Je fus tenté de lui mettre la main aux fesses,
mais quelle aurait été se réaction,
enfin les cartes furent sorties et elle inscrivit son numéro de téléphone bureau personnel.
Elle allait sinstaller dans sa voiture, quand elle dit en enlevant la veste de son tailleur: « Je trouve quil fait chaud ,
je serais plus à laise pour conduire,
»
La veste enlevée, fut mis en évidence un généreux décolleté, souvrant sur une belle paire de seins qui remplissait comme il faut celui-ci.
En fermant la portière, elle me dit : « Tu auras certainement loccasion de venir à Poitiers,
fais moi signe,
je te montrerais nos installations,
bye,
» elle était partie.
Je pensais, mais avec un certain retard, elle fait tout ça,
mais elle me drague,
et je reste planté comme un c
Je me traitais de tous les noms. Mais bon en attendant lheure de larrivée de Monique je me mettais au travail.
Vers 6,00 h elle frappa à la porte de la chambre et entra. Surprise elle portait un sac et était vêtue dun imperméable, serré à la taille.
Moi : «Il fait si froid dehors,
»
Monique : « Non, mais pour notre dernier rendez-vous, jai voulu être élégante », enlevant son imperméable apparut nue et elle dit : « Comme tu vois jai mis un porte-jarretelle, ça fait plus habillé,
» et elle éclata de rire,
Moi : « Avec ou sans tu es toujours aussi belle,
»
Monique : « Pas plus,
»
Moi : « Oh pardon,
toujours aussi baisable,
»
Monique : « Je préfère,
viens,
sers moi dans tes bras,
dis moi,
un autre que toi maurait dit ça,
il aurait au moins ramassé une claque,
et toi,
jattends que tu le dises,
et ça me fait chaud,
plaisir,
ça mexcite,
pourquoi,
OH, viens que je sente combien tu as envie de moi,
que tu me fasses des souvenirs,
mais, je suis nue,
et tes encore habillé,
»
Alors que je commençais à me déshabiller, elle me dit : « Non,
je vais le faire moi-même,
je vais savoir comment tu as envie de moi,
je connais le thermomètre qui me dira comment je suis baisable,
comment tu as envie de moi,
». La chemise fut vite enlevée, remplacée par de petits baisers et quelques coups de langues sur les tétons, puis avec dextérité, ceinture, braguette, jétais en caleçon et jévacuais difficilement mon pantalon qui mentravait aux chevilles, position désagréable au possible. Enfin, le caleçon, lui aussi fut évacué et Monique se mit à luvre : « Je veux te sucer,
je veux te donner du plaisir,
» ce quelle fit, utilisant ses doigts qui courraient sur ma tige et sa langue qui titillait mon gland avant denrober celui-ci de ses chaudes lèvres pour enfin mavaler complétement et commencer à me pomper. Quand elle estima que lengin était à sa convenance elle se redressa et membrassant dis : « Viens,
prends moi,
prends moi fort,
tu vas partir
je voudrais que tu me fasses lamour,
oui, fais moi lamour,
» et sallongeant sur le lit les jambes bien ouvertes, elle soffrait,
« Viens,
je te veux sur moi,
pour la dernière fois donnes moi du plaisir,
oui,
prends moi,
» En position entre ses cuisses, elle prit « popol » et le guida à lentrée de sa chatte, que je pénétrais dun coût de rein sec : « Oui,
brute,
je te sens dans moi,
fais moi lamour,
oui,
baises moi,
je veux que tu prennes ton plaisir,
» Alors que, jaccélérais mes pénétrations, à chaque pénétration elle se cambrait tendue ouverte à mes va et vient : « Oui,
continues,
ne tarrêtes pas,
baises moi,
baises moi fort,
jaime te sentir,
OOOOHHH,
cest bon,
continues,
OOOOHHH,
OUIIIIIIIIII,
OUIIIIIIIII,
. » et elle se contracta ses jambes mencerclant et me bloquant en elle, alors que je métais vidé juste avant quelle jouisse aussi brutalement. Enfin ses jambes souvrirent et je pus me dégager. Quelques minutes et se retournant et se collant sur moi : « Embrasses moi,
jespère que tu as eu du plaisir,
autant que jen ai eu,
» Enfin se levant : « Je dois y aller,
jespère que tu repasseras dans la région,
tâches de me prévenir avant que je puisse morganiser,
pour ,
enfin,
embrasses moi,
je men vais,
car je vais dire des bêtises,
» Elle ouvrit le sac et shabillant, elle dit avec un léger sourire, : « Je redeviens une honnête femme,
au revoir,
jespère pas adieu,
» Elle était partie.
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